L’atarax est un médicament anti-dopage qui possède des propriétés anti-inflammatoires et antipyrétiques. Elle est disponible sous divers noms de marque. Les comprimés de 20 mg (1 mg) sont les mêmes que ceux de 40 mg (1 mg) qui sont prescrits par un médecin. Il est recommandé de prendre les comprimés à la même heure chaque jour, selon la gravité des symptômes. L’atarax est également disponible sous forme de comprimés dans de petites doses à 20 mg, pour le traitement de la douleur et la fièvre. La posologie recommandée est de 50 mg par jour. L’atarax est utilisé chez l’adulte et chez l’enfant de plus de 3 ans, en particulier en cas d’épilepsie, d’épilepsie, de crise d’asthme, de migraine, d’insuffisance cardiaque congestive, d’hypersensibilité à l’un des excipients (par exemple, acide acétylsalicylique, acide salicylique, acide salique) et d’autres excipients (par exemple, médicaments de la famille des anticoagulants oraux, des diurétiques, des alpha-bloquants, des antiplaquettaires).
Classe pharmacothérapeutique : antipsychotiques à utiliser pour traiter la manie, Médicaments utilisés dans le traitement de l'anxiété, Médicaments utilisés pour soulager les symptômes du trouble panique (TSP) Psychosexine, code ATC : D06AX10.
Ce médicament est un antipsychotique atypique.
Mécanisme d'action
Le métabolite de laipient est un inhibiteur puissant et sélectif de la dopamine Déshydrogénase (DPO) et la plus fréquente dans le cerveau, ce qui signifie qu'il est plus puissant de diminuer la dépression ou de réduire les pensées et l'agitation. Cela entraîne une relaxation des vaisseaux sanguins et une augmentation des concentrations de dopamine dans le cerveau.
L'efficacité du métabolite dans le traitement de l'anxiété et de la manie est démontrée. Chez les personnes ayant un TSP, le médicament est associé à une augmentation des doses de dopamine Déshydrogénase (DDAH), une enzyme qui détruit la DPO.
Effets pharmacodynamiques
Les effets psychiatriques de la métabolite atarax 25 mg sont assez similaires à celles de l'hydroxyzine (10 mg/ml, solution buvable en gouttes) et peuvent durer plusieurs semaines.
Cette étude n'a pas montré d'effet clinique démontré.
Dans une étude de 12 semaines chez des patients ayant un TSP, la dose maximale de métabolite atarax 25 mg par voie orale (50 mg/jour) était prise une fois par jour (soit une dose unique de 25 mg). Le patient présentant un état d'épilepsie, une agitation avec hyperactivité, une somnolence, des vertiges ou des syncopes avec une dose de 25 mg ne présentait aucun effet clinique.
Efficacité et sécurité clinique
Le métabolite atarax 25 mg est déconseillé chez les personnes atteintes de trouble panique sévère (TSP) qui présentent un syndrome dépressif majeur. Il n'a pas été démontré d'augmentation des doses cliniquement pertinentes des autres antipsychotiques atypiques (voir rubrique Effets indésirables).
Les effets indésirables psychiatriques de la métabolite atarax 25 mg sont plus sévères mais ont tendance à diminuer lorsqu'elle est prise sans risque d'interaction avec d'autres médicaments.
Concentrations critiques
Deux études cliniques réalisées chez des patients atteints de TSP avec des troubles psychiatriques et de troubles anxieux ont démontré une supériorité clinique du métabolite atarax 25 mg (50 mg/jour) chez les patients présentant des troubles psychiatriques et/ou de troubles anxieux traités avec des médicaments atypiques (voir rubrique Contre-indications).
Messagepar Karine » dimanche 21 avril 2015 11:41
Merci d'avoir dit qu'on a décidé de le voir. Le lendemain matin, je me suis senti mal à l'oreille mais je dormais toute nuit. Depuis que j'ai fait un bilan d'examen sur moi, j'ai toujours pris un antihistaminique, la déclaration d'une réaction allergique s'est nettement prise. Il n'y a rien de grave. Il faut que je puisse m'inquiéter. Mais il faut donc que je commence à avoir des réactions d'allergie à ces médicaments. Et pourtant, je ne l'ai pas vu. Et depuis que j'étais en période de stress, je me suis senti mal toléré.
Mon conjoint m'a prescrit de l'atarax pour dormir, c'est-à-dire que je m'en débrouille. Il m'a prescrit du paracétamol, que lui m'a dit que j'avais déjà des crises d'angoisse. C'était à la recherche d'un traitement pour réduire la crise. Qu'est-ce que je suis à l'époque? Le paracétamol? Le paracétamol est-ce que vous souffrez? Qu'est-ce que mon conjoint est en période de stress? Et que mon conjoint me fait de la migraine? Et qu'est-ce que j'ai déjà eu entre ma vie et l'anxiété? On peut citer qu'il y a une génération de stress au moment de l'anxiété, que l'on peut y penser, que l'on peut décider d'aller à l'époque. Le paracétamol est une famille de médicaments anti-anxiété qui sont à l'origine des crises d'angoisse. La prise d'atarax n'est pas recommandée car c'est un médicament de synthèse qui peut faire des effets secondaires sur la santé mentale. Mais je me suis dit que le paracétamol n'y fait pas de réactions d'allergie. En effet, j'ai décidé d'en prendre, car je n'ai pas de souci. C'est ce qu'on appelle un antihistaminique. Il s'agit d'un médicament qui est à l'origine de l'anxiété. Il s'agit d'un médicament qui est à l'origine de crises d'angoisses, d'hypersensibilité aux antihistaminiques et de crises de déprime.
Déjà réputé que l'Agence européenne du médicament (EMA) a publié cette fausse réponse concernant l'utilisation d'ATARAX, un antidépresseur tricyclique, à des doses allant de 5 à 10 mg par jour, pour traiter la dépression.
Le médicament était à débuté en mai, en novembre dernier, avant les médicaments des troubles anxieux, en France, le 7 mars dernier, avec l'autorisation de mise sur le marché.
Cette décision s'est déroulée aux Etats-Unis, le 6 mars dernier, mais elle avait été évoquée par les autorités sanitaires européennes, qui sont les premières à dénoncer l'absence d'AMM, l'arrêt du médicament, et à prendre l'avis de précautions particulières du médicament qui seraient prises en compte.
Par ailleurs, les médecins de famille, qui en fonction de leur situation, font partie de la Commission européenne, avec un avis très positif qui permet de conclure l'utilisation de l'ATARAX à des doses allant de 5 mg à 10 mg.
Cette décision doit être réalisée par le médecin-conseil qui va enfin dénoncer l'absence d'AMM, l'arrêt du médicament, et à prendre en compte, l'utilisation du médicament, et des risques potentiels liés à son utilisation.
«Cette étude va dans la bonne direction, nous nous attendons à voir des résultats positifs plus tard cette année ou dans les années à venir. C’est un nouveau pas dans la bonne direction », s’est réjoui un chercheur de l’Institut national de santé publique (INSPQ), Jean-Michel Gagné.
L’usage récréatif de cette substance, qui peut être mortelle ou nocive, ne se limite pas aux produits pharmaceutiques.
Depuis la fin des années 1990, le THC a gagné du terrain dans la société québécoise. Il est devenu la drogue préférée des jeunes. En 2017, l’INSPQ estimait que plus de 10% des 14-24 ans avaient déjà consommé de la marijuana. Dans la grande majorité des cas, l’usage est occasionnel, surtout chez les hommes.
La recherche indique que le THC peut causer de nombreux effets secondaires, dont la perte de conscience, la désorientation et des problèmes de coordination. L’inhalation de THC pourrait mener à la dépendance, voire à des comportements violents ou à la consommation d’autres drogues.
Durant les 10 dernières années, la consommation d’alcool chez les jeunes a diminué de 30%. Pourtant, la consommation d’alcool est devenue un problème de santé publique majeur, surtout chez les jeunes. Les jeunes de moins de 18 ans ont connu une augmentation de 58% de la consommation d’alcool entre 1991 et 2017.
La consommation d’alcool semble également s’accentuer chez les femmes. Le risque de dépendance à l’alcool est plus élevé chez les femmes de 18 ans et plus, et plus particulièrement chez les adolescentes.
La consommation d’alcool est un phénomène répandu dans la population québécoise et plusieurs études tendent à démontrer un lien entre la consommation d’alcool et la criminalité. Les études révèlent que les jeunes de 15 à 24 ans ont deux fois plus de risques de commettre des crimes violents et des agressions sexuelles que les personnes de 45 ans et plus.
Cependant, il est difficile de faire la part des choses entre la consommation de drogues et l’usage de substances psychoactives. L’INSPQ reconnaît que ces résultats doivent être interprétés avec prudence. Il faut également tenir compte de l’impact du contexte social, des habitudes de vie et de la situation sociale.
Le recours à la marijuana au cours des dix dernières années aurait pu causer la dépendance chez un plus grand nombre de personnes. Cependant, plusieurs autres facteurs influencent ce risque comme le niveau de scolarité, le niveau de revenu, l’état de santé et le style de vie.
La consommation de drogues pourrait donc avoir d’autres effets néfastes sur le cerveau. Les effets des drogues varient d’une personne à l’autre et les produits utilisés sont nombreux. Les effets peuvent être physiques, psychiques ou sociaux.
Les effets de la marijuana peuvent provoquer des troubles de l’équilibre et de l’attention, des hallucinations, des changements de la perception des couleurs et de la température, de la dépression, de la dépression et de l’irritabilité, de la confusion, des changements de personnalité, des changements de la perception des émotions, de la mémoire, des changements de la sensibilité au bruit et à la lumière.
Les effets sur le cerveau de l’usage de drogues comme le THC peuvent se traduire par des troubles de la vision, des difficultés d’apprentissage, des problèmes de mémoire à court et à long terme, une anxiété, des hallucinations, des pensées irrationnelles, des changements d’humeur, de la dépression, des changements de comportement et de la confusion.
Pour les plus jeunes, l’utilisation de la drogue peut être une expérience qui change leur vie.
L’usage récréatif de cannabis pourrait être une expérience qui peut avoir un effet sur les relations avec les amis et la famille. La consommation de drogue peut également avoir un impact sur les relations amoureuses. Certains jeunes ont l’impression de vivre dans un monde qui n’est pas le leur, où le fait de s’ouvrir sur leur vie personnelle n’est pas encouragé.
Les effets de la drogue sur le cerveau peuvent aussi avoir un impact sur le fonctionnement social, les relations personnelles et professionnelles et la capacité à être productif. La consommation de drogues pourrait causer de la solitude, de la tristesse, de l’anxiété, une mauvaise estime de soi, des problèmes de sommeil et un manque de motivation à travailler ou à s’impliquer dans des activités.
L’usage récréatif de cannabis pourrait aussi être un facteur de risque pour le développement des cancers et des maladies chroniques.
Ces effets se manifestent à différents degrés chez les consommateurs de cannabis. Il n’y a pas de différences entre les jeunes qui consomment de l’alcool et ceux qui consomment du cannabis ni chez les personnes qui ont consommé des drogues et des médicaments ou qui ont consommé des drogues et des médicaments en même temps.
S’il est difficile de faire la différence entre les deux, il est plus facile de différencier les effets sur le cerveau. Les adolescents sont plus à risque de développer des troubles de l’attention et de l’humeur et de la dépression. Il est possible que ces effets apparaissent plus tard. Les adultes sont plus à risque d’avoir un problème de dépendance à l’alcool et aux drogues et de souffrir de problèmes de santé mentale.
Il est important de signaler les effets nocifs de la marijuana ou des autres drogues à un professionnel de la santé qui sera en mesure de bien évaluer les risques et les effets potentiels sur le cerveau des jeunes. Il est possible de demander l’aide d’un intervenant ou d’un travailleur social dans les Centres de santé et de services sociaux (CSSS).
Le recours à des programmes de réduction des méfaits devrait être encouragé. Ces programmes visent à réduire la consommation de drogues et à réduire les risques pour la santé associés à la consommation de drogues.
La consommation de marijuana et d’autres drogues psychoactives peut avoir un effet négatif sur la santé psychologique et la capacité de s’engager dans des activités de soins. Cette étude est une nouvelle pierre dans le jardin de la recherche sur le cannabis qui suscite des craintes et des inquiétudes. Les jeunes consommateurs de cannabis doivent être informés des risques pour leur santé et être encouragés à faire part de leurs expériences à leurs parents ou leurs enseignants.
La recherche doit se poursuivre pour comprendre si la consommation de cannabis entraîne d’autres conséquences que celles déjà connues. Le cannabis demeure une drogue récréative à risque. Les produits de cannabis et les autres drogues psychoactives doivent être utilisés avec prudence.
La recherche et la science peuvent améliorer notre compréhension de l’impact du cannabis sur le cerveau. Les chercheurs et les chercheurs doivent communiquer leurs découvertes à la communauté pour que les connaissances scientifiques puissent être utilisées pour améliorer la vie de milliers de personnes dans notre société.
Mesure phare : la loi sur le cannabis
La ministre de la Santé publique a présenté en décembre dernier un projet de loi qui vise à légaliser et à encadrer l’usage du cannabis au Québec. La ministre veut ainsi réduire la dépendance à la drogue en mettant fin à la prohibition et en favorisant une utilisation responsable du cannabis.
Depuis la légalisation, en octobre 2018, la vente de cannabis a augmenté de 130%. Depuis le 17 octobre, le taux de cannabis chez les enfants est de 1,1 mg/kg/jour. Les adolescents (13-17 ans) ont un taux d’environ 2 mg/kg/jour. Pour les adultes (18 ans et plus), le taux s’élève à 3 mg/kg/jour.
Le Québec compte maintenant 2300 personnes ayant une ordonnance autorisant l’importation, la vente ou la distribution de cannabis à des fins récréatives.
La loi vise à réduire le risque d’usage de substances psychoactives en permettant de consommer du cannabis chez soi, sans qu’il soit nécessaire de le consommer dans un lieu public. Ainsi, la consommation de cannabis est devenue une réalité de tous les jours, et pas seulement le vendredi soir. L’interdiction de sa vente dans les bars a créé un vide. Les jeunes ont donc pu se procurer du cannabis et l’utiliser. Les risques de dépendance et d’abus sont moindres, ce qui permet de réduire les risques pour la santé.
Avec la légalisation du cannabis, de nouveaux défis apparaissent. Ceux-ci comprennent la vente, la production et la publicité des produits de cannabis. Ces changements réglementaires entraîneront des changements importants au niveau des lois entourant la vente, la production, la distribution et la publicité des produits de cannabis.
D’autres changements réglementaires sont prévus. Ceux-ci touchent la façon de se procurer et de vendre du cannabis et de la marijuana. Cela inclut notamment la création de bureaux municipaux d’alcool et de produits du tabac à des fins non médicales.
Le gouvernement du Québec compte aussi développer une approche pour la santé mentale des jeunes. Cette politique de santé doit répondre à la fois aux enjeux actuels et aux besoins des jeunes de la population. Le gouvernement du Québec a ainsi mis sur pied un comité ministériel qui a produit des recommandations pour répondre aux besoins de santé des jeunes.