Information patient approuvée par Swissmedic
CPS PHARMA AG
XENICAP® est utilisé pour traiter l'obésité.
L'obésité est un élément important à l'absorption des graisses dans votre corps.
XENICAP® agit en réduisant la quantité de graisses dans votre corps en empêchant la digestion de se lier au cerveau (en l'emmagasant des graisses) et en améliorant la digestion du corps.
XENICAP® aide à la prise en charge des personnes obèses ou qui ont des problèmes de santé ou qui ne prennent pas de médicament.
XENICAP® aide à la prise en charge des personnes ayant des problèmes de santé ou qui ont des problèmes de santé légère à modérés.
XENICAP® agit en améliorant la croissance des os (ostéoporose) chez les femmes, les adolescents et les jeunes adultes. Cela permet de réduire le risque de fractures des os dans le cadre d'une chirurgie.
XENICAP® aide à la prévention des récidives des maladies hépatiques, en particulier chez les personnes atteintes de dépression.
XENICAP® aide à la prévention des maladies des reins (insuffisance rénale, épilepsie, rétention urinaire, maladie de Cockayne) chez les personnes atteintes de ces épisodes, ainsi que chez celles qui souffrent de problèmes héréditaires.
XENICAP aide à la prévention des maladies des poumons (méningite aseptique, pneumonie) chez les personnes atteintes de ces épisodes.
Si vous êtes diabétique ou si vous avez une maladie grave du foie, le taux de sucre dans le sang est très élevé. Les graisses dans les selles sont dans la plupart des cas présentes comme étant des graisses alimentaires ou des aliments lourds.
XENICAP ne doit pas être utilisé pour traiter une insuffisance rénale aiguë (clairance de la créatinine < 10 ml/min).
XENICAP ne doit pas être utilisé pour traiter des patients âgés souffrant de maladies cardiaques ou d'hypertension artérielle.
= prescription médicale obligatoire
ANSM - Mis à jour le : 08/12/2022
Dénomination du médicament
XENICAL GEL 20 mg/10 ml, géluleLipitor
Encadré
Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes pour vous.
·Gardez cette notice. Vous pourriez avoir besoin de la relire.
·Si vous avez d'autres questions, interrogez votre médecin ou votre pharmacien.
·Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez pas à d'autres personnes. Il pourrait leur être nocif, même si les signes de leur maladie sont identiques aux vôtres.
·Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s'applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4.
Que contient cette notice?
1. Qu'est-ce que XENICAL GEL 20 mg/10 ml, gélule et dans quels cas est-il utilisé?
2. Quelles sont les informations à connaître avant de prendre XENICAL GEL 20 mg/10 ml, gélule?
3. Comment prendre XENICAL GEL 20 mg/10 ml, gélule?
4. Quels sont les effets indésirables éventuels?
5. Comment conserver XENICAL GEL 20 mg/10 ml, gélule?
6. Contenu de l'emballage et autres informations.
1. QU'EST-CE QUE XENICAL GEL 20 mg/10 ml, gélule ET DANS QUELS CAS EST-IL UTILISE?
Classe pharmacothérapeutique : diurétique à l'élimination de la créatine code ATC : N06AB01.
Ce médicament est indiqué dans le traitement des douleurs du bas, douleurs musculaires, douleurs dorsales et douleurs musculaires.
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE XENICAL GEL 20 mg/10 ml, gélule?
Liste des informations nécessaires avant la prise du médicament
Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament.
Il y a plusieurs années, de nombreuses personnes sont confrontées à une nouvelle pilule miracle. Aujourd’hui, le Xenical, commercialisé en France sous les marques Xenical et Alli, est le premier médicament contre la perte de poids sous la forme d’un gel pour perdre du poids. Les effets secondaires des Xenical sont rares et sont généralement bénins. Ce médicament est prescrit pour le traitement des maladies cardiaques ou du pancréas et peut provoquer des effets secondaires indésirables chez les personnes qui ont besoin d’un traitement plus longtemps.
Il est principalement prescrit pour la perte de poids chez les personnes qui ont un déficit en graisse corporelle. Il se pourrait que l’on puisse trouver des solutions pour lutter contre la perte de poids et perdre du poids sans passer par une autre cause. La perte de poids est un effet secondaire indésirable le plus fréquent en France. Lorsqu’il est utilisé, les graisses sont éliminées dans les cellules du corps. Cela peut provoquer un développement d’appétit, une perte de poids, ou encore une perte de masse corporelle. Le gel Xenical peut également être prescrit pour la perte de poids chez les personnes souffrant d’un autre trouble du déficit en graisse corporelle.
L’utilisation de la gel Xenical est une étape essentielle pour traiter l’obésité. Toutefois, le gel Xenical est un médicament sûr, efficace et sans risque pour la perte de poids. Le principe actif est le gel Xenical, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un gel de forme puissant qui permet de perdre du poids et de réduire l’excès d’aliments riches en graisse corporelle. Il est également utilisé pour le traitement des déficiences génétiques et des maladies cardiaques chez les personnes qui ont déjà perdu de leurs kilos.
Le gel Xenical est efficace lorsqu’il est pris à la dose minimale efficace, environ 30 à 60 mg par jour. Le gel peut être pris à la fois avec ou sans nourriture. En revanche, l’effet d’un gel est généralement révélé positif. Il est également pris à la fois avec une quantité maximale d’aliments, comme les boissons sucrées, les repas et les médicaments.
Le gel Xenical est sûr à utiliser car il ne protège pas contre les infections bactériennes. Il est également sûr à utiliser car il n’est pas susceptible d’accroître l’effet. C’est particulièrement vrai pour les personnes qui sont sujettes aux effets secondaires du gel Xenical. Pour les personnes qui sont surprenantes et qui ont une perte de poids excessive, il est préférable d’utiliser une crème à base de gel Xenical.
Xenical Générique, Alli, Alli Xenical, Xenical, Xenical ou Xenical pour le traitement de l’obésité, pour la perte de poids, pour la perte de poids chez les adultes, pour un bébé, pour un enfant, pour un petit-déjeuner, pour un petit-déjeuner et la perte de poids chez le nourrisson. La posologie recommandée est de 3g par kilogrammes par jour, 3g de Xenical à Xenical pour la perte de poids. Acheter Xenical Générique pour perdre du poids.
Xenical Générique, Alli, Alli Xenical, Xenical ou Xenical pour le traitement de l’obésité, pour la perte de poids, pour la perte de poids chez les adultes, pour un bébé, pour un enfant, pour un petit-déjeuner, pour un petit-déjeuner et la perte de poids chez le nourrisson.
Acheter Xenical Générique pour perdre du poids chez les adultes, pour un bébé, pour un enfant, pour un petit-déjeuner, pour un petit-déjeuner et la perte de poids chez le nourrisson.
Xenical Générique, Alli, Alli Xenical, Xenical ou Xenical pour le traitement de l’obésité, pour la perte de poids, pour la perte de poids chez le nourrisson, pour la perte de poids chez le nourrisson chez le nourrisson.
Avant de prendre Xenical Xenical, un médecin doit être consulté pour des signes d’hypersensibilité, d’insomnie, de vertige et de somnolence. Si vous ressentez des effets secondaires graves, il est recommandé de contacter un médecin.
Depuis les années 1980, de nombreux pays ont développé une politique de réduction des risques concernant l’alcool, qui préconise de limiter sa consommation à deux verres par jour, voire de l’interdire pour les personnes en surpoids. Le 12 octobre, à 12 h, les ministres de la Santé des pays membres de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) ont signé un accord intergouvernemental sur la consommation d’alcool pour les personnes atteintes d’un cancer. Celui-ci doit être intégré à la convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles adoptée par l’ONU en 2005.
L’accord prévoit d’importants progrès pour limiter la consommation d’alcool chez les patients atteints d’un cancer, notamment l’interdiction de l’alcool pour les patients atteints de cancers du sein, du côlon ou du rectum. Le Dr Pierre de Gisclède, président de l’Alliance nationale contre le cancer (ANCC) et membre du groupe de travail sur l’alcool, explique comment la France va intégrer ce texte au sein de la convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles. Il s’exprime également sur les progrès accomplis par la France dans la réduction de la consommation d’alcool chez les personnes atteintes d’un cancer et la mise en place de nouvelles mesures de prévention, en partenariat avec les associations de patients.
Pour la première fois, une conférence mondiale sur la prévention et la réduction des risques liés à la consommation d’alcool pour les personnes atteintes d’un cancer se tient en parallèle de la 62e Conférence internationale du Cancer de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). L’objectif de cette manifestation est de dresser un état des lieux de la situation et de discuter des actions à mener pour prévenir et réduire la consommation d’alcool chez les personnes atteintes d’un cancer. Elle se tient du 23 au 27 septembre 2015 à Rio de Janeiro, au Brésil.
L’Alliance nationale contre le cancer (ANCC) et l’Association nationale des centres régionaux de coordination en cancérologie (ANCRC) sont membres de l’OMS depuis 2009.
« La question de la consommation d’alcool chez les personnes atteintes d’un cancer est au cœur de nos préoccupations depuis plusieurs années », explique le Dr Pierre de Gisclède, président de l’ANCC et membre du groupe de travail sur l’alcool. « Nous avons réalisé des travaux pour identifier les risques et les bénéfices de la réduction de la consommation d’alcool chez les personnes atteintes d’un cancer. Cette réduction permettrait de limiter la consommation chez des personnes qui ne souhaitent pas en consommer ».
Les travaux menés par l’ANCC ont montré les bienfaits de l’arrêt de la consommation d’alcool. Les données issues de la cohorte E3N (Étude E3N sur les Effets de l’Ethanol sur la Santé), qui regroupe 15 000 femmes, montrent par exemple qu’une réduction de la consommation d’alcool chez les patients atteints d’un cancer du sein diminue le risque de récidive de cancer du sein, notamment de 32 % chez les femmes ayant arrêté la consommation d’alcool au cours de leur vie par rapport aux femmes qui continuaient à en boire. De même, les travaux menés sur des patientes atteintes d’un cancer du côlon ont démontré que les patientes qui ne consomment plus d’alcool sont moins susceptibles de développer des métastases au cours du cancer du côlon, que ce soit au niveau de la membrane muqueuse ou de la muqueuse du côlon.
L’arrêt de la consommation d’alcool réduit le risque de survenue d’autres cancers. Le risque de cancers du foie est réduit de 25 % par rapport aux personnes qui continuent à en consommer dans la même proportion et celui du cancer du sein de 40 %. Des travaux de l’Inserm, de l’INCA et de l’INCa montrent que chez les personnes qui ont cessé de consommer de l’alcool avant un cancer du sein, les bénéfices de la réduction de la consommation sont supérieurs à ceux observés chez celles qui continuent à en boire.
L’arrêt de la consommation d’alcool réduit le risque de complications après un cancer du sein. Dans une étude prospective, les patientes dont la consommation d’alcool est restreinte pendant trois ans ont un risque de complications du cancer du sein réduit de 45 % et celui de la récidive de cancer du sein réduit de 28 %. Chez les patientes qui continuent à boire de l’alcool, ce risque augmente de 24 %.
« L’arrêt de la consommation d’alcool a des effets bénéfiques qui ne peuvent être attribués à la réduction de la consommation d’alcool », insiste le Dr de Gisclède. « Nous n’avons pas de preuves irréfutables de la réduction du risque de cancer ou des bénéfices de l’arrêt de la consommation d’alcool. Il n’y a pas de bénéfices à poursuivre sa consommation d’alcool, pas plus qu’il n’y a de bénéfices à cesser sa consommation d’alcool ».
Le Dr Pierre de Gisclède précise également que les bénéfices de l’arrêt de la consommation d’alcool peuvent être attribués à la réduction du risque de cancer, en particulier de cancer du sein, chez les femmes qui en consomment encore. « On voit bien que l’arrêt de la consommation d’alcool ne peut être attribué à une réduction de la consommation d’alcool, mais à la réduction du risque de cancer du sein, dont la mortalité diminue de 45 % par rapport à celle des patientes qui continuent à en consommer. »
« Dans les cancers du sein à un stade précoce, la réduction de la consommation d’alcool est bénéfique même lorsque la patiente continue de consommer de l’alcool », ajoute le Dr de Gisclède. « Il est possible que des bénéfices soient liés à la réduction du risque de cancer, mais nous n’avons pas trouvé de preuves irréfutables que cela est le cas ».
« Si on continue de boire de l’alcool, il y a un risque de développer des complications comme le cancer du sein. C’est le même que pour le cancer du foie », insiste le Dr Pierre de Gisclède. « Si vous arrêtez de boire de l’alcool, c’est le même risque de développer des complications comme le cancer du foie ».
En France, environ 26 000 personnes sont touchées par un cancer chaque année. Environ 60 % d’entre elles sont traitées par chimiothérapie et radiothérapie. La part des femmes atteintes d’un cancer du sein est passée de 40 % à 20 % entre 1980 et 2005. La fréquence des tumeurs du sein a augmenté entre 2005 et 2009, de même que le nombre de cas de cancer du sein.
« On constate une diminution très significative de la consommation d’alcool chez les femmes atteintes d’un cancer du sein, mais on note une augmentation de la consommation chez les femmes en bonne santé », précise le Dr de Gisclède. « Ces dernières années, les cancers du sein sont beaucoup plus fréquents chez les femmes en bonne santé ».
« Les femmes qui ont été atteintes d’un cancer du sein pendant leur vie ont un risque accru de cancer du sein dans les 10 ans après leur diagnostic », poursuit le Dr de Gisclède. « Dans les pays développés, la fréquence des cancers du sein chez les femmes qui ont eu un cancer du sein pendant leur vie a été divisée par deux depuis 1980.
« En France, la consommation d’alcool chez les femmes en bonne santé a doublé entre 1980 et 1990 puis a diminué de moitié entre 1990 et 2008 », précise le Dr de Gisclède.
Pharmacie des Allondières